ÉTRANGES TREMBLEMENTS DE CIEL...

Par Christian MACÉ

 

 Nous allons ouvrir cet étonnant dossier des Phénomènes de Détonations Vibratoires et autres, survenus aux quatre coins du Globe.

 

Faîtes attention, vous aussi vous pouvez en être les témoins !

 

Ces manifestations étranges ne datent pas d’aujourd'hui.

 

La revue spécialisée sur les OVNI, " Lumières dans la nuit ", dans son numéro 344 (mars-avril 1997), nous dit ceci :

Pages 23-24 : " Un bruit extraordinaire, le 6 juin 1850.

Condensé de la note portant sur un bruit extraordinaire entendu le 6 juin 1850, présenté par M. Clément Mullet, membre résident de la Société d’Agriculture de l’Aube, recueilli dans la seconde partie du volume 15, années 1849-1850, édité par ladite Académie :

Le 6 juin 1850, vers 11 H 30, l’atmosphère étant en très grande partie remplie de nuages, du genre cumulo-nimbus, un bruit extraordinaire se fit entendre. Personne ne fut d’accord pour dire où et comment ce bruit éclata, ni combien de temps il dura. " Quant à moi (c’est l’auteur du rapport qui s’exprime), j’ai entendu une explosion très forte, suivie d’un roulement qui se prolongea pendant quelques minutes. Je crus à un coup de tonnerre, puis le roulement prolongé me fit croire au bruit d’une voiture de poste, parce que je n’étais pas loin de la grande route. Mais j’eus beau regarder, je ne vis point de voiture. D’autres personnes disent avoir entendu plusieurs détonations successives et consécutives. Ce qui est certain, c’est que le bruit fut entendu dans des localités fort distantes. Les hypothèses les plus diverses circulèrent. Les uns attribuaient ce bruit à la chute d’une montagne, d’autres à la chute d’un aérolithe, le plus grand nombre à l’explosion d’une poudrière. Les journaux n’en parlèrent point, ni ceux de Paris, ni ceux du département (à la connaissance du rédacteur de ce rapport). Il est rapporté que ce fut dans les bois que le phénomène fut le plus retentissant. Pourtant, personne ne dit avoir senti la terre frémir, ni trembler. Ayant entendu dire qu’un journal annonçait la chute d’un aérolithe sur le Mont Afrique, je crus devoir m’adresser à M. Alexis Perrey, professeur de Physique à Dijon. Le 13 juin, il me répondit que le bruit fut entendu aussi bien en Côte d’Or que dans l’Aube, qu’il lui semblait que c’était là l’effet d’une explosion ayant eu lieu du côté de l’ouest ou du nord-ouest. Elle eut son siège dans une région très élevée de l’atmosphère ou se rapprochant du zénith. Pour moi, elle m’a semblé provenir, à peu près, de la direction sud-sud-ouest, ayant son siège dans la région moyenne de l’atmosphère. Une circonstance fort remarquable, c’est que l’on a entendu à Dijon les fenêtres VIBRER. La porte du cabinet de notre collègue a frappé, quoique fermée, trois ou quatre fois contre le chambranle. Enfin, la VIBRATION des fenêtres était pareille à celle que l’on observe dans les maisons au voisinage desquelles ont lieu de fortes décharges d'artillerie. Il y eut quelques exagérations, comme l'annonce de tremblements de murailles. A l’usine de gaz de Dijon, couverte par un faîte orienté NNO à SSE environ, les ouvriers ont entendu une détonation en un seul point de la partie nord du toit. La halle des fourneaux fut aussitôt remplie de poussière, et les ouvriers assurent que le versant sud du toit n’a éprouvé aucune commotion. Cette remarque concorde avec l’observation de M. Perrey, qui assure que les fenêtres situées au Midi n’ont eu aucune secousse. Les journaux de la Côte d’Or ont cité des aérolithes tombés dans le département, à Assouy, Larey, mais la lettre de M. Perrey, au 18 juin, affirme que de cela, rien n’est certain. ".

En résumé, une violente explosion dans l’atmosphère avec des secousses violentes (VIBRATION des croisées des fenêtres et mouvements de porte close). Cause indéterminée, excluant le tremblement de terre et les bruits souterrains. Reste le phénomène météorologique de haute ou moyenne atmosphère, mais il n’y eut pas d’orage. De même, la chute d’un aérolithe est écartée à Dijon, le rapport des ouvriers indiquant que le toit n’était " ni percé ni bossué ".

Des personnes ont rapporté avoir senti " un fluide électrique " lors de la détonation au-dessus de Dijon, mais M. Perrey doute de la bonne foi de ces personnes dans ce cas précis.

Le foyer de la détonation se situerait au nord-ouest de Dijon et au sud-est de Troyes. C’est donc en un point d’une droite Dijon-Troyes, plus près de Troyes, qu’il faut chercher l’origine de l’explosion. Celle-ci fut entendue à Semur, TONNERRE, Chalon-sur-Saône, Mâcon, Besançon, Genève, Sommefontaine (il faut lire : Sexfontaine. (Sans doute un lapsus calami), à 16 km au nord de Chaumont par le père de M. Perrey qui, la veille au soir, avait vu un GLOBE DE FEU brillant dans la direction sud-ouest. On a signalé ce même phénomène dans l’Aube.

Il a déjà été mentionné de semblables bruits comme dans les Mémoires historiques et physiques sur les tremblements de terre, page 88, de M. Bertrand, le 20.11.1716 à Val-Ruz (Neufchâtel, Suisse) qui rapporte que ce jour-là, on entendit un grand bruit dans l’air pendant 7 à 8 minutes.  

 

Dans son remarquable ouvrage intitulé "Le Triangle des Perturbations", Andres Alfaya, ancien des services secrets cubains, mentionne l’existence de tels phénomènes... depuis la conquête espagnole à Cuba !

Page 198 : " Les premiers renseignements que l’on peut trouver à propos de ce "canon de l’indien" se trouvent dans les chroniques des premiers découvreurs de l’Amérique qui sont arrivés en même temps que Christophe Colomb, en particulier chez Fray Bartoloméo de Las Casas. Les Espagnols, incapables d’expliquer les formidables explosions qui se produisaient dans la vallée de Mabuya des aborigènes, donnèrent ce nom au phénomène. " Ouvrage paru aux éd. Robert Laffont, en 1981.

Mystérieuse vallée de Mabuya sur l’île de Cuba, où se produisent toutes sortes d’apparitions insolites : présences répétées d’OVNI, traces au sol, disparitions d’avions... étranges détonations !

 

Feu Jacques Bergier cite également d’autres cas dans son livre "Visa pour une autre Terre", éd. J’ai Lu, sorti en 1977, pages 72 et 73.

Le 12 avril 1857 à San Gabriel, en Californie. L’explosion laissa un trou d’un mètre de profondeur dans la cour d’une maison habitée par une famille Murphy.

En 1927 dans l’Ohio. Des explosions qui ont duré jusqu'au mois de janvier 1928 !

La déflagration du 12 décembre 1951 à Dallas, au Texas, où plus tard le Président Kennedy fut assassiné. L’explosion a démoli des vitres et des automobilistes ont dit que leurs voitures ont été très fortement secouées. La police locale et le FBI ont fait une enquête très poussée. Aucune explication n’a été fournie à ce jour...

 

Dans son autre ouvrage " Les extra-terrestres dans l'histoire ", Editions " J’ai Lu " n° A 250, paru en 1970, feu Jacques Bergier évoque en pages 179-180 une affaire d’OVNI liée à des bangs supersoniques !

Cela s’est déroulé dans la nuit du 09 février 1913, et ces objets seraient venus du Canada, et ont survolé les Bermudes, le Brésil, puis l’Afrique…

Extraits : " Dans la nuit du 9 février 1913, d’étranges objets sont entrés dans notre atmosphère. Ils n’ont pas explosé comme celui de 1908. Ils ne sont pas tombés comme l’auraient fait des météorites. ILS SONT REPARTIS.

Leur existence ne fait aucun doute. Si les premières observations ont été faites par des fermiers et des astronomes amateurs, les suivantes l’ont été par des astronomes professionnels, comme le professeur C. A. Chant, de l’Université de Toronto. Pendant plus de trois minutes, il a observé des corps lumineux voyageant EN GROUPE. Par exemple, un premier groupe de quatre objets suivi par un groupe de trois, puis par un groupe de deux. Certains de ces objets volaient suffisamment bas pour provoquer dans l’atmosphère dense des BANGS tout à fait comparables à ceux que produisent les avions supersoniques. Leur vol était apparemment horizontal et leur vitesse relativement faible, bien inférieure à celle des météorites qui se comptent en kilomètre-seconde.

Un autre astronome professionnel, W. F. Denning, écrivit dans le journal de la " Société Royale Astronomique du Canada " : " C’était dans le ciel comme un train express, dont les fenêtres sont illuminées la nuit par des projecteurs à l’intérieur. Je n’ai rien vu de pareil en quarante-huit ans d’études astronomiques.  ".

Des observations faites à bord d’un navire permettent de préciser que, venu du Canada, les objets ont survolé les Bermudes, puis le Brésil, puis l’Afrique où, faute d’observateurs qualifiés et d’observatoires, on les a perdus de vue… ".  

 

Dans son "Hypothèse sur le fonctionnement des Soucoupes Volantes", le lieutenant Jean Plantier relatait l’explosion mystérieuse qui ébranla la région de Glancove, près de New-York, en octobre 1952. Voir page 92 du livre de Henry Durrant "Les Dossiers des OVNI", paru aux éd. Robert Laffont, en 1973.

 

Explosion extraordinaire enregistrée le 6 février 1955 à Grymouth, vers 10 h du matin, en Nouvelle-Zélande... pendant que l’on voyait un "point lumineux" dans le ciel ! Page 221 de "Les 12 mystérieux Triangles de la mort, des Bermudes au Japon", par A. Ribera, éd. De Vecchi, 1978.

 

Au soir du 15 septembre 1962, cinq garçons virent un disque toucher la surface des eaux du réservoir d’Oradell, dans le New-Jersey ; apparition suivie plus tard d’un bruit d’explosion ! Pages 240-241, du livre de Henri Bordeleau "J’ai percé le mystère des soucoupes volantes", éd. Société Nefer Enregistrée, 1970.

 

Nuit du 23 au 24 janvier 1974, des centaines d’habitants du nord du Pays de Galles, sont réveillés par le bruit sourd d’une très violente explosion ! Des traînées lumineuses ont été aperçues dans le ciel, au large des côtes du Somerset et du Pays de Galles. Tiré du journal "Le Parisien", du vendredi 25 janvier 1974.

 

Mardi soir, vers 22 heures, du 11 mars 1975, des explosions en série entendues par les habitants de la Seine-Saint-Denis, du Val de Marne, de la Seine et Marne et l’Essonne.

Dans ce dernier département, à Corbeil-Essonnes, j’ai été personnellement témoin de très fortes détonations, au nombre de trois !!! Un témoin situé sur la hauteur du plateau de Villabé, limitrophe de Corbeil-Essonnes, m’avait affirmé avoir aperçu des "lueurs rouges" à ce moment-là...

Le journal "France-Soir" du jeudi 13 mars 1975 relate ces explosions dans la région parisienne.

 

En novembre et décembre 1976, des explosions et des VIBRATIONS puissantes entendues par les habitants de l’ouest du Pays de Galles, en particulier la région du Canal de Bristol. En général, cela se produisait vers 21 heures, mais aussi 18 h 20, 22 h 30, voire 12 h 50 ! En diverses occasions, une curieuse "lueur orange avait été vue dans le ciel ! Consulter "Le Dossier secret des OVNI Gallois", par Peter Paget, éd. du Rocher, 1983, pages 75 à 80.

 

Durant la première quinzaine de janvier 1977, les populations côtières du nord du Portugal assistèrent régulièrement, entre 4 h 30 et 5 h, à des détonations ou claquements, suivis de PHÉNOMÈNES VIBRATOIRES ! Tiré du journal "Le Républicain Lorrain", du 14 janvier 1977.

 

Dans son remarquable ouvrage " OVNI : Terre, planète sous contrôle ", paru aux Editions " Alain Lefeuvre " en 1980, l’ami Guy Tarade nous dit ceci :

Pages 58-59 (extraits) : " Le 30 juillet 1977, alors que la nuit était tombée sur Madagascar, le ciel de l’île fut soudain parcouru d’une vive lueur aux reflets jaunes et bleus, suivie d’un double " BANG " supersonique… L’observatoire national indiqua qu’un objet, dont il ne pouvait préciser la nature, avait traversé le ciel de Madagascar et était probablement tombé dans l’est de l'île. Le premier " BANG ", à 18 h 21, locales, se serait produit à l’arrivée de cet " objet " dans l’atmosphère, et le second, à 18 h 58, lorsque celui-ci se serait disloqué. La défaillance d’un appareil de mesure empêchait d’en savoir plus… A Madagascar, aucun cratère n’a pu être découvert et aucune trace de l’objet qui a explosé ne fut retrouvée.

Les habitants de N’Djamena, de Krim-Krim et de Beinamar ont été intrigués, certains terrorisés, par des phénomènes inhabituels apparus au-dessus de ces localités dans la nuit du 7 au 8 septembre (note de Christian Macé : année 1977).

A N’Djamena, un objet lumineux semblable à une étoile filante a traversé le ciel du nord au Sud, vers 20 heures. Cet objet, d’aspect nébuleux, semblait se désintégrer en avançant. Les témoins oculaires avaient l’impression qu’il volait lentement et à basse altitude. A un moment de son trajet, l’objet leur a donné l’impression qu’il grandissait, comme par explosion, puis il s’est lancé plus rapidement, suivi d’une très longue traînée lumineuse.

Dans la MEME NUIT, à 21 heures, au poste administratif de Krim-Krim (à 400 km de N’Djamena à vol d’oiseau), 12 DETONATIONS successives ont été entendues, accompagnées d’éclairs. Selon la gendarmerie, ces DETONATIONS s’étaient produites à basse altitude et ressemblaient à des feux d’artifice. Elles ont traversé la localité du nord au Sud et ont disparu après un instant. La gendarmerie a noté qu’aucun avion n’a survolé la localité ni avant ni après les détonations.

La brigade de gendarmerie de Beinamar (proche de Krim-Krim) signale que la MEME NUIT, vers 22 h 30, la ville a été survolée à 4 reprises par 11 lumières " en forme de mirage ", allant du nord au Sud. Ces lumières étaient passées en silence et l’une d’elles est revenue vers le Nord avant de disparaître (A.T.P.).

Nota : Cet article nous est communiqué par un lecteur, lui-même témoin cette nuit-là à N’Djamena, il nous ajoute ceci : " de la taille d’une étoile mais plus jaune et à basse altitude, et qui bouge irrégulièrement. Ce n’est donc pas un satellite puisque la lumière change de cap ". ".

 

Pendant la durée du mois de décembre 1977. Côte Est des U.S.A. Notamment le 02, le jeudi plus tard.

 

Mois de décembre 1977, côte Est des U.S.A. Les 02, 15, 20, 22, et 24 du même mois ! Voir entre-autre, le journal "Le Parisien" du 20 décembre 1977.

 

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