Par Christian MACÉ

Or, le même symbole a été retrouvé en Méditerranée et à Glozel, en France, lors de découvertes archéologiques entre les deux guerres ! Le site de Glozel, près de Vichy, avait été mis à jour par un cultivateur, Émile Fradin. Parmi les objets découverts, des tablettes gravées de signes alphabétiques… Bien avant la Phénécie, le centre de la France aurait été habité par un peuple évolué, utilisant une écriture alphabétique. D’après Serge Hutin "Les civilisations inconnues", Éd. Marabout, 1972. Voir page 180 à 183 "Le mystère de Glozel".

Dans les années 50, le célèbre contacté George Adamski reçut notamment le message précédant, figurant sur un film restitué par une soucoupe en vol à Palomar Gardens, U.S.A, en 1952.

Maintenant, comparez avec le tableau ci-après dû à l’archéologue et explorateur Français Marcel Homet, qui découvrit ces symboles lors de son expédition en Amazonie du Nord, parmi les mégalithes brésiliens de Pedra Pinta, gravés il y a plus de 10.000 années !

Publié dans son ouvrage "The sons of the sun", par Neuville Sperman, Londres, en…1963 !

Et voici l’histoire fabuleuse arrivée à un jeune fermier du Brésil dans la nuit du 15 octobre 1957 ; Antonio Villas Boas fut contraint de faire l’amour à une … extraterrestre, séduisante de surcroît, à bord de l’OVNI !

Antonio put lire l’inscription suivante au-dessus de la porte de l’engin :

Tiré de "En quête des humanoïdes" par Charles Bowen, Éd. "J’ai lu", 1974. Page n° 280.

Le 24 avril 1964, le policier Lonnie Zamora fut confronté à une rencontre rapprochée avec un OVNI, à Socorro, au Nouveau-Mexique. Il fut en mesure de lire le symbole qui suit, dessiné en rouge sur l’engin :

Voir le même livre de Charles Bowen, page n° 162.

La lecture du livre de l’ami Guy Tarade "Soucoupes volantes et civilisations d’outre-espace", Éd. "J’ai lu", paru en 1969, apporte des éléments supplémentaires d’informations à propos du même signe. Parcourir le chapitre "L’écriture des mères dans le ciel de Soccoro", pages 103 à 106.

Pour Guy Tarade : " Ce sigle constitue une ancienne écriture, l’alphabet d’une langue primitive, que nous pouvons interpréter par : nous sommes les Mères du Temple Universel fécondées par le Dieu Inconnu (ou la cause première).

En effet, le demi-cercle signifie la lettre "M" qui, dans toutes les langues, se rapporte à la mère. Possédant toujours sa même valeur, ce symbole existe encore dans la langue berbère.

Les deux barres indiquent le Temple aux deux colonnes (L dans notre alphabet). La flèche centrale, c’est une simple barre : le menhir, la pierre brute : l’Être UN, le Dieu Inconnu.

Le trait horizontal, qui souligne l’ensemble, représente, lui, l’univers en marche. Les Égyptiens avaient, pour représenter l’univers, un hiéroglyphe spécial qui était un rouleau de papier fermé par des sceaux. Ces symboles relevés par Zamora peuvent être lus de droite à gauche, ou de gauche à droite ou indifféremment de bas en haut et de haut en bas. Comme le "Tamachek" qui lui aussi se lit en zigzags.

D’érudits linguistes voient dans l’écriture berbère la survivance de la langue des Atlantes. Les Amazones avaient-elles fait la conquête de l’île avant sa disparition et emprunté aux vaincus leur alphabet, ce n’est pas impossible. Cependant n’oublions pas que la fin de l’Atlantide, que l’on situe à l’époque du déluge, correspondait à un temps où tous les peuples de la Terre parlaient la même langue et utilisaient les mêmes signes pour correspondre.

Nous disions plus haut que des organisations religieuses n’ignoraient rien de la lutte sournoise qui se joue dans l’univers et plus particulièrement sur le globe terrestre entre le matriarcat et le patriarcat. Les signes relevés par Zamora vont venir étayer notre thèse.

Ce symbole en demi-cercle du M dominant le Temple est employé depuis la plus haute antiquité. C’est le "sceau" universellement admis de la maternité et de la reproduction. Chez les Hébreux, la lettre "Mem" est considérée comme une des trois lettres mères. Le mot égyptien "Mère" (mout) commence par un "M" comme dans la plupart des langues indo-européennes.

L’image qui en Égypte représentait le "M" était la chouette. La Minerve antique était représentée sur les vases du néolithique avec une tête de chouette ! Patronne des Troiens¹, elle fut aussi reproduite sur les monuments du mégalithique d’un âge non évaluable. C’est dans un vase à tête de chouette que l’archéologue Henry Schliemann déposa, dit-on, un testament secret relatant le point précis où gisait l’Atlantide. En Amérique du Sud, les Précolombiens gravèrent par milliers "la tête de chouette" qui, pour eux, représentait Vénus². Minerve Glaucopis avait les yeux verts, couleur de l’Étoile du Berger.

Les kabbalistes hébreux gouverneurs d’un culte patriarcal vouent la chouette à l’anathème. Pour eux, cette image vivante du "M" féminin, ils en ont fait l’épouse du Prince des Ténèbres. Dans cette langue primitive, chouette s’écrit d’ailleurs comme "Lilith".

Aperçu quelques instants dans le ciel du Nouveau-Mexique par le policier Zamora, le sigle matérialisé sur la soucoupe volante venue d’un autre monde, nous invite à repenser tout le problème des Objets Volants Non Identifiés qui, depuis des siècles, hantent nos cieux et dirigent sans doute notre propre destin. " Fin de citation.

Consultez l’ouvrage "Ummo, le langage extraterrestre", par Antonio Ribéra. Éd. du Rocher, 1984.

Notons que ce symbole de "Ummo" a été vu sur l’OVNI de Voronej, URSS, le 27 septembre 1989 :

Or, on trouve une inscription s’y approchant de très près, dans les pétroglyphes du Vénézuela méridional et de l’Amazonie brésilienne !

Voir le livre de Marcel Homet "À la poursuite des dieux solaires", Éd. "J’ai Lu", 1974, page n° 46.

En couverture des deux brochures "Le gouvernement secret, l’origine, l’identité et le but du MJ-12" et "Opération cheval de Troie, la Terre aux mains des petits Gris", Éd. Louise Courteau, est reproduit l’emblème des "GRIS", insigne Trilatéral : un triangle noir sur fond rouge.  Notons que le triangle est un symbole universel de notre humanité…

Les "GRIS" envahisseurs, mutilateurs, kidnappeurs… et en pleine activité sur " notre " satellite la Lune !

Dans son livre "Ils n’étaient pas seuls sur la Lune", Éd. Belfond, paru en 1978, George Leonard mentionne différents symboles relevés sur la surface de "notre" satellite. Voir pages 162 et 163.

On trouve souvent d’énormes E ou F sur le fond de plusieurs cratères. Également les signes qui ressemblent à nos lettres A, X et P se retrouvent aussi un peu partout…

Le signe suivant apparaît fréquemment à la surface de la Lune, presque toujours inscrit dans un cercle ou un ovale. Leonard l’appelle l’arbre de vie, et il est l’un des symboles les plus anciens de l’humanité d’après lui :

Ce symbole ressemble beaucoup à celui de l’écriture " Ummite " (voir ci-dessus), et à celui observé par Lonnie Zamora à Socorro !..

Les aliens laissent des empreintes de visages sur Mars et la Lune, ressemblant à des configurations humaines, comme leurs écritures. Ces rébus extraterrestres offrent, le moins que l’on puisse dire, d’étonnantes similitudes avec notre propre humanité.

On dit que ces symboles se retrouvent en particulier dans l’écriture des anciennes tribus germaniques de l’Europe du nord, les runes ! Mais aussi dans certains hiéroglyphes Égyptiens, et dans l’écriture chinoise et japonaise !