" Ces Intelligences d’outre-mondes qui nous côtoient… "

Par Christian Macé

Notre séjour au près de l’ami " contacté " Jean-Claude Pantel, nous a permis, entre autres, la mise à jour de nouvelles manifestations étranges…

(Jean-Claude Pantel est l’auteur des 2 tomes " Les Visiteurs de l’Espace-Temps ", éditions Ramuel).

C’est ainsi qu’un soir de février 2000, l’amie Jacqueline Aubert et moi-même, devisions à l’extérieur, tout proche du domicile de Jean-Claude Pantel

Jacqueline, son appareil photo numérique en mains, décide de prendre une photo de la voûte céleste… Aussitôt, nous regardons le résultat sur l’écran de contrôle… Stupéfaction ! Sur la partie gauche, nous découvrons toute une série de sphères lumineuses, en guirlande dans le sens verticale !

Alors qu’il n’y avait rien dans le ciel !..

Par la suite, Jacqueline intégrera ce cliché dans son ordinateur… Au développement, couché sur papier, celui-ci donnera une invasion de boules lumineuses blanches sur toute la surface de la voûte céleste !

 

Tout aussi troublant, le même soir, l’amie Catherine Saclier, trouveras comme bizarre, la lune qui brillait…

Elle prend là aussi une photo, avec un appareil normal. Le négatif de ce cliché sera plus tard scanné par l’auteur de ces lignes, et au lieu de la lune, il sera découvert, à la place, 3 boules lumineuses blanches regroupées ! Cliché ci-contre :

Document de Catherine Saclier. Une lune bizarre 

Jacqueline Aubert a mise sur cassette vidéo, que nous détenons, plus d’une cinquantaine de ces mystérieuses Photographies.

Document de Jacqueline Aubert

 

Exemples ci-contre : le fantôme jaune, les sphères blanches, ces visages, ces structures filandreuses…

Il convient alors que nous nous interrogions sur toutes ces manifestations insolites…

Il était fort intéressant pour nous de nous demander si nous nous trouvions pas là en présence de manifestations de certaines espèces ou entités d’outre-mondes faisant irruption dans notre continuum espace-temps…

 

Il s’est avéré lors de nos recherches documentaires sur des affaires similaires auxquelles nous nous sommes livrés, (" affaires non classées ! "), que le cas de Mme Lansing méritait d’être évoqué ici…

Comment tout a commencé pour Mme Lansing.

En septembre 1961, vers les 1 heure du matin, à Northampton, dans le Massachusetts (USA)… Mme Lansing vit un OVNI s’approcher à grande vitesse, puis après avoir plané durant quinze minutes, il s’en alla. Par la suite, à Palmer (dans le Massachusetts) où Mme Stella V. Lansing réside, d’autres apparitions d’OVNI surviendront… En 1963, 1965, 1966,1967, 1971…

 

Sur les photos et films pris par celle-ci, des figures énigmatiques se matérialiseront, alors que de visu, tout cela n’était pas visible 

Par exemple, sur un film pris le samedi soir 18 février 1967 d’OVNI, au développement du film… il y eut la présence bien distincte de 4 personnages à côté d’un engin ! On aperçoit aussi comme un long bras, en forme de cône, émanant de l’OVNI. On voit aussi deux longs bras flexibles et un troisième en extension verticale.

Consulter le livre " Les apparitions mystérieuses ", éd. Tchou, paru en 1978, qui détaille l’affaire.

A mesure que votre narrateur progressait dans ses recherches, d’autres constatations troublantes purent être faites…

Document de Mme Lansing. Agrandissement d’une des images cinématographiques. Les visages des 4 personnages variant d’une image à l’autre !

Trévor James Constable a effectué des recherches en ce sens, et a publié ses travaux dans deux livres

Document de Mme Lansing. Image de l’OVNI. On distingue, à la verticale, la 3ème extension 

" Ils vivent dans le ciel ", paru en 1958 et " Le pouls cosmique de la vie ", paru en 1976, avec de nombreuses illustrations photographiques.

Pour Constable, il s’agirait d’une espèce qu’il a qualifiait du terme de " Critter ". Corroboré aussi par feu Luciano Boccone, du " Gruppo di Ricerca Clipeologiche ed Ufologiche " de Gênes, en Italie. 200 instantanés figurent dans son livre " La Realta Nascosta ".

Il écrivit ceci à Constable, en 1979 :

…nous possédons une preuve documentaire irréfutable sur la présence de ces " plasmatiques " ou " idéoplasmes " à basse altitude, au-dessus des montagnes, de la mer, proches de nous-mêmes sur Terre, et même à l’intérieur de nos maisons…  Ces organismes éthériques vivent avec nous, en n’étant jamais détectables, depuis la nuit des temps ".

Les " Critters " seraient donc des créatures multi-dimensionnelles…

Comment photographier les " Critters ".

Le jour, utiliser une pellicule Ektachrome Super 8 mm et un filtre A 18.

L’ingénieur roumain Gheorgita, dans son livre " Strannile Inteligentie Invisible ", publie également des photos des " Critters ". Il emploie des pellicules infrarouges et des panchromatiques.

Consulter l’ex revue " Incroyable et Scientifique " n° 10.

Le cobaye Jean Miguères.

Feu le contacté OVNI Jean-Miguères, publie dans son livre " J’ai été le cobaye des Extra-Terrestres ", éd. Promazur-RG, paru en 1977, une curieuse photographie en page n° 227.

Le 11 août 1969, sur la R.N. 13 bis, à Saint-Etienne de Vauvray, l’ambulance de Jean fut violemment percutée par une D.S 20, venant du Havre. Le quotidien du secteur " Paris-Normandie " dans son édition du 12 août 1969 avait évoqué l’accident. Un OVNI avait été aperçu par Jean à ce moment…

Document de Jean Miguères. Dans le rectangle, on peut apercevoir un homme blessé à l’intérieur du véhicule avec, sur le visage, un masque à oxygène. Dans le cercle, à l’extérieur du véhicule, une tête qui semble surveiller le blessé.

 

La photo reproduite page 227 montre la carcasse de l’ambulance. La légende indique : " Dans le rectangle, on peut apercevoir un homme blessé à l’intérieur du véhicule avec, sur le visage, un masque à oxygène. Dans le cercle, à l’extérieur du véhicule, une tête qui semble surveiller le blessé. ".

Nous avons plus d’informations sur son affaire, car une de nos amies… a vécu avec feu Jean Miguères !

 

Voguons maintenant en mer, et intéressons-nous au bateau " Watertown  ".

Ce pétrolier effectuait la traversée de San Pedro, en Californie, au Canal de Panama… Les corps des deux marins James T. Courtney et Michael Meehan (asphyxiés par des vapeurs d’essence) furent immergés au large de la côte mexicaine le 4 décembre 1924…

Par la suite, on revit très souvent le visage des deux morts parmi les vagues !… Les traits étaient parfaitement reconnaissables ! Le capitaine Tracy réussit à prendre une photo. Voici ce document !

Voir le livre de Vincent Gaddis " Les vrais mystères de la mer ", éd. France-Empire, paru en 1977. Pages 111-113.

L’amie Pascale Lafargue, médium et spécialiste des réincarnations, me dit récemment qu’une de ses amies avait pu prendre récemment une photo d’un défunt !

Document du capitaine Tracy. On distingue les 2 visages !

 

René Hardy, sacrifié !

Abordons présentement le suicide très suspect de l’ingénieur René Hardy. Effectivement d’après l’article du journal "L’espoir-hebdo" du samedi 31 mars 1973 consacré à cette affaire, tout cela est bien mystérieux ! Et c’est le moins que l’on puisse dire...

 

Ainsi le professeur René Hardy s’est suicidé le lundi 12 juin 1972 à 7 h 45 du matin, sur la terrasse de son appartement, quartier Claret à Toulon. Alors que rien ne le présageait...

 

Selon larticle susnommé, René Hardy s’apprêtait à faire état de ses découvertes.

 

Il avait compris et pouvait expliquer la façon dont les humanoïdes voyageaient dans la quatrième dimension. Il était en mesure de dire pourquoi et comment ils pouvaient disparaître à nos yeux. Il pensait qu’ils pouvaient très bien vivre parmi nous sans que nous puissions les reconnaître...

Citation de l’article :

"Aux obsèques du professeur Hardy, nombreux sont ceux qui, dans l’assistance émue et recueillie, ont noté la présence de six hommes de très grande taille qui paraissaient ne pas se connaître mais se ressemblaient étrangement. Personne ne les avait jamais vus. Ils ne présentèrent pas leurs condoléances à la famille à l’issue de la cérémonie et, détail beaucoup plus troublant (encore qu’invérifiable mais qui nous a été confirmé par plusieurs disciples du maître), ils ne figuraient ni les uns ni les autres sur les photographies prises lors des obsèques, alors qu’ils se trouvaient en plein coeur de la foule des amis venus rendre un dernier hommage au grand savant !..". Fin de citation.

Dans son tome n° 2, page n° 209, l’ami Jean-Claude Pantel nous alerte sur certains faits de société :

"Point n’a été le but, au fil de ces quelques lignes, de donner à ce récit des relents de "série noire". J’ai simplement tenté, au gré de ces conclusions "intuito-déductives" afférentes à des exemples précis et authentiques, d’éveiller l’attention de chacune et de chacun à propos de faits de société, voire personnalisés, que l’on se plaît, trop naïvement peut-être, à considérer comme... divers ou accidentels.".

Livre prémonitoire à recommander : "GUERRE AUX INVISIBLES", par Eric Frank Russell. Editions Denoël, collection "Présence du futur". Réédité en 1971.

L’auteur évoque les VITONS, intelligences d’un autre monde sous la forme de boules lumineuses (OVNI !) qui interférent avec l’espèce humaine...

Extrait page n° 98 :

"On sait depuis longtemps que l’énergie nerveuse produite par la pensée, de même que la réaction des émotions glandulaires, est de nature électrique ou para-électrique : c’est de cette énergie que se nourrissent nos mystérieux seigneurs. Ils peuvent, et ils ne s’en privent pas, augmenter le rendement quand bon leur semble en attisant les rivalités, les jalousies, les haines, afin d’exciter les émotions. Chrétiens contre musulmans, Blancs contre Noirs, communistes contre catholiques, tout est bon pour les Vitons, tout sert sans que nous le sachions à nourrir des estomacs que nous ne pouvons imaginer.

De même que nous cultivons les plantes qui nous nourrissent, les Vitons nous cultivent. De même que nous labourons, semons et récoltons, ainsi font les Vitons. Nous ne sommes qu’un terrain de chair, où les circonstances imposées par les Vitons viennent creuser leurs sillons ; nos maîtres y sèment des sujets de controverse, sur lesquels ils répandent l’engrais des fausses rumeurs, des mensonges délibérés, ils arrosent tout cela de méfiance et de jalousie, et font lever ainsi de splendides moissons d’énergie émotionnelle. Chaque fois que quelqu’un hurle à la guerre, les Vitons se préparent à festoyer !".

Puis, extrait page n° 100 (sang !) : 

"Alors que l’énorme majorité des hommes moyens de toutes races et de toutes croyances aspire instinctivement à la paix et à la sécurité, notre monde, peuplé de gens pourtant raisonnables et sains, ne peut arriver à satisfaire cette aspiration. On ne leur permet pas de la satisfaire ! La paix, la paix véritable implique la disette pour ces êtres qui sont au-dessus de nous dans l’échelle de la vie. Il leur faut des émotions, de l’énergie nerveuse ; il leur en faut d’énormes moissons dans le monde entier, et peu importent les moyens !".

Extrait, page n° 95 :

"Ils hantent en général les endroits fréquentés par la foule ; pour des raisons terribles, ils s’amassent en plus grand nombre là où la population est la plus dense.". 

Prenons le mot VITON, et inversons ses deux syllabes. Nous avons TON-VI. Ces Entités donnent le… TON à la VIe, à nous pauvre espèce humaine que nous sommes !..

Mais est-ce seulement un roman de science-fiction ? Nous n’en mettrions pas notre main aux feux…

Toute ressemblance avec des agissements de certaines entités ne serait pas que pure coïncidence.

Elles peuvent y trouver leur compte !..

Pour sa part, et nous le rejoignons, l’ami Jean-Claude Pantel nous dit que l’espèce humaine fait parti de la chaîne alimentaire…

Après un examen approfondi sur certains faits divers sur lesquels nous nous sommes livrés, il s’est avéré que la tournure de ces événements méritait un autre regard…

Nous vous soumettons quelques exemples de notre collection impressionnante.

Voici une dépêche du 03 avril 1999 de l’AFP.

"UN FERMIER INTERNE APRES LA DECOUVERTE DE CADAVRES D’ANIMAUX.

MAUBEUGE, 2 avr. (AFP) – Un homme d’une soixantaine d’années a été interné en hôpital psychiatrique après la découverte de treize cadavres d’animaux dans la ferme où il vivait seul, à Rousies, près de Maubeuge (Nord), a-t-on appris vendredi de source policière.

La police, intervenue à la suite d’une plainte de la SPA, a découvert dans la cour de la ferme le cadavre d’un veau puis, alignés dans l’étable, les corps de six génisses en état de décomposition avancée, a-t-on précisé de même source. Il y avait également six cadavres de poules et coqs.

D’abord placé en garde à vue, sous le coup d’une procédure pour mauvais traitements à animaux, le fermier a fait l’objet d’un internement d’office après que des examens médicaux eurent démontré qu’il n’était pas responsable de ses actes, toujours selon la même source.

En février, un agriculteur belge de 49 ans avait comparu devant le TGI d’Avesnes-sur-Helpe (Nord) après la découverte dans son exploitation d’une vingtaine de cadavres de cochons, veaux et vaches. Un complément d’enquête avait finalement été ordonné au sujet des actes de cruauté sur animaux dont il reste soupçonné.". Fin de citation.

Deux faits divers très ressemblants.

Ils sont extraits du journal "Libération" paru le mardi 06 avril 1999. Tous les deux relatés en page n° 23.

"ABATTUE EN PLEINE RUE PAR SON MARI.

Bordeaux, dimanche, en début d’après-midi. En pleine rue, un couple se dispute. L’homme, un enseignant de 53 ans, sort de sa poche un pistolet automatique et tire sur son épouse, sous les yeux de leur fils, âgé de 10 ans. La victime, âgée de 50 ans, est mortellement touchée à la tête. Après avoir fait feu, le mari a tenté de retourner l’arme contre lui, mais celle-ci s’est enrayée. Il a été interpellé quelques instants après son geste. Le couple était en instance de divorce.".

Puis :

"SUICIDE EN BOITE DE NUIT.

Un homme de 71 ans a blessé une femme avant de se donner la mort, dans une boîte de nuit de Perpignan. Vers 3 heures, dans la nuit de samedi à dimanche, le septuagénaire a tiré, à l’aide d’un pistolet 22 long rifle, sur une femme, l’atteignant à la tête. Il s’est ensuite suicidé. Grièvement touchée, la victime n’a pas pu expliquer aux enquêteurs les circonstances de l’agression.".

ETONNANT !

A Bordeaux, on découvre un enseignant (d’âge mûr !) armé qui fait feu ! Puis tente de se suicider !

A Perpigan, on découvre un homme de 71 ans (d’âge mûr aussi !) armé qui fait feu également, et se suicide !

Un enseignant de 53 ans armé ; un homme de 71 ans armé qui fréquente à son âge une boîte de nuit !

On aura tout vu !

A NOTER AVEC FORCE QUE CES DEUX FAITS DIVERS SIMILAIRES SE SONT PASSE LE MEME JOUR, LE DIMANCHE 04 AVRIL 1999 ! 

Ne résistons pas à vous relater ce fait divers de Seine et Marne publié par " Le Parisien de Seine et Marne " du jeudi 01 avril 1999, page n° VI.

"Roissy. Une fillette agressée. Cette fillette et sa mère n’ont sans doute toujours pas compris ce qui leur est tombé sur la tête, ce lundi 30 mars en fin de matinée. Alors que l’enfant, âgé de 5 ans, jouait tranquillement devant chez elle, aux alentours du square Rodin, une femme s’est précipitée sur elle, et lui a balancé un violent coup à hauteur d’un oeil. La mère de l’enfant se précipite à son tour sur l’agresseur, qu’elle reconnaît puisqu’il s’agit d’une voisine, et lui réclame des comptes. En furie, la femme menace la mère de revenir avec un fusil, et s’enfuit.

Elle sera appréhendée dans l’après-midi. Aux enquêteurs, elle aurait justifié ce coup de colère par une dispute avec son père. La fillette s’en sort avec un gros hématome à hauteur de l’arcade. L’agresseur sera convoqué au tribunal de grande instance de Melun, au mois de juin prochain.".

 

Libération du 22 avril 1999. Page 22 :

Massacreur de roses empalé sur sa scie.

Une scie à la main, un homme de 79 ans massacrait mardi* les roses de sa voisine, à Toulouse. La femme soudain apparaît à la fenêtre. Elle se met à hurler. Sans se séparer de sa scie, le tailleur s’enfuit, se jette dans un escalier qui mène au sous-sol de l’immeuble. Il trébuche, tombe sur sa lame et meurt.

Libération du 22 avril 1999. Page 22 :

Le chasseur de pigeons finit noyé dans le canal.

Une échelle à la main, un homme de 47 ans chassait des pigeons nichant sous les poutrelles d’un pont, vers Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Il avait l’habitude d’effrayer ainsi les oiseaux. Son corps a été retrouvé mardi*, par les pompiers, dans le canal de la Marne au Rhin. Il était mort noyé. L’échelle flottait dans le canal.

Ce mardi* 20 avril 1999... ceux qui s’en sont pris à la NATURE...l’ont payé cher !

UNE JUSTICE INVISIBLE...

Maintenant, extrait du journal "Le Parisien, édition de Seine et Marne", page n° 18, paru le jeudi 01 avril 1999.

" POLICE. MOBILISATION INTERNATIONALE.

INTERPOL au secours des enfants disparus. En 1998, 463 enfants ont été déclarés disparus à Interpol (Organisation internationale de la police criminelle) sans être retrouvés jusqu’à ce jour. Depuis le début 1999, ils sont déjà 249 dans ce cas...".

A notre avis, ces enfants ne sont pas perdus pour tout le monde !.. 

Libération "   du 26 avril 2000 :

CARNAGE AU ZOO.

" Y a t-il un tueur en série au zoo de Nancy ? Un ennemi des animaux, qui les exécute deux par deux. Ca a commencé avec deux ours, Mona et Stanislas, tombés raides, vendredi, d’avoir mangé des branches d’if frais, insidieusement jetées dans leur fosse. Et voilà que dimanche, entre midi et 14 h 00, c’était le tour de deux des trois cygnes noirs d’Australie qui voguaient, entre femelles, sur le lac du zoo. Prises à la gorge, les oiselles, mordues à mort. " Attaquées par un chien ", dit la responsable du parc, Géraldine Picque. Mais où est le maître ? " Personne n’a rien vu ". Mardi, la mairie a porté plainte pour " cruauté envers les animaux ", placé deux gardiens supplémentaires, et promis de rappeler, par mégaphone, que les chiens doivent être tenus en laisse ". Fin de citation.

Commentaire : En ce qui concerne l’agression sur les cygnes, il est suggéré qu’il puisse s’agir de chiens. Mais il est précisé " où est le maître " et " personne n’a rien vu " !

Pour avoir vu évoluer des cygnes sur le lac de Bois le Roi depuis une quinzaine d’années, et avoir analysé le comportement d’une multitude de différentes races de chiens envers ceux-ci, cette hypothèse ne tient pas !

Libération " du 25 mai 2000 :

RETOUR AU ZOO DE NANCY.

D’après le témoignage d’une touriste de Strasbourg, ce serait une dame qui aurait jeté les branches d’if " oursicides ", qui s’avère être un funeste poison, dans la fosse, le vendredi 21 avril 2000…

Cette dernière donne l’alerte. Celle-ci, âgée de 45 ans, bouleversée par le drame, meurt à son tour le lendemain, d’une rupture d’anévrisme. Un soigneur avait déjà fait des remontrances à la défunte quand elle jetait de la nourriture en dépit de l’interdiction…

Il est affirmé, de façon péremptoire, que les 2 cygnes noirs australiens ont été sauvagement assassinés par un chien, et que l’on cherche le mobile !

Commentaire –bis- : Nous pensons qu’il n’est pas impossible que la dame en question puisse avoir été " AGIE ", " CONDITIONNEE " par une " PUISSANCE EXTERIEURE "…

Elle pouvait constituer une " CIBLE " de choix, un " BRAS ARME TELEGUIDE ".

Pourquoi maintenant vouloir à tout prix mettre en cause un chien à propos de l’agression sur les cygnes ? Nous savons que de telles morsures peuvent aussi être créées par des " ENTITES "…

(Nous ne parlons pas à la légère, car nous avons été témoins, à trois personnes, d’un tel cas !).

Libération " du 13 mai 2000 :

LES EXPLOSIONS DE DEPOTS DE FEUX D’ARTIFICES.

" En Hollande : samedi 13 mai 2000 à Enschede, 18 morts, 150 personnes portées disparues. Et en Espagne et Mexique ! Vous avez dit… bizarre ?

Dans son édition du jeudi 18 mai 2000, le journal " Le Parisien " de Seine-et-Marne revient sur la catastrophe des Pays-Bas, et publie la carte de France avec les multiples sites de fabrication et de stockage… DONC, A SURVEILLER !…

Et une de plus ! Voici ce que nous dit " Le Parisien " de Seine-et-Marne paru le vendredi 19 mai 2000 : " Une explosion survenue hier dans une petite fabrique de feux d’artifice au sud de Rome a fait trois morts. Le propriétaire de l’usine et son fils ont été tués sur le coup et un employé a succombé à ses blessures à l’hôpital. C’est le quatrième accident de ce type dans divers pays en une semaine ! ".

Rappelons-nous qu’à la suite de la catastrophe du tunnel du Mont-Blanc, il y eut, très curieusement là aussi, une série d’accidents dans divers tunnels de par le monde…

UNE SINISTRE REGLE DE TROIS !

L’écrivain anglais Eric Franck Russel, dèjà mentionné, dans son livre " Great World Mysteries ", édité par Mayflower-Dell, New-York en 1967, a étudié 19 cas de COMBUSTION SPONTANEE D’ETRES HUMAINS… Mentionnés dans les journaux de l’année 1958.

Très curieusement, Russel a pu découvrir une SINISTRE REGLE DE TROIS pour certains de ces événements !

Ce qui s’est passé le 27 décembre 1958 :

Une femme se consuma à Brixton, une autre à Doxnham (dans le Kent), puis un homme à Balina, en Irlande !

A remarquer qu’aucune de ces personnes ne se trouvait près d’un feu, ni ne fumait.

Egalement troublants, les trois morts du 7 avril 1958 :

Par un ciel clair et sans coup de tonnerre, au large de la côte d’Irlande, voguait le cargo " Ulrich "… Le second remarqua que le bateau faisait des embardées et s’aperçut que l’homme de barre, Greeley, avait disparu ! Seul, un tas de cendres restait devant la roue du gouvernail…

Le même jour, près d’Upton-by-Chester, en Angleterre, un camion alla s’arrêter dans un fossé… Le chauffeur George Turner, était complètement incinéré ! Les coussins de son siège n’avaient pourtant aucun dommage. Et le réservoir d’essence était intact. Il n’y avait pas eu le feu non plus dans la cabine.

Toujours à la même date, près de Nimègue, en Hollande. William Ten Bruick fut trouvé brûlé dans sa Volkswagen. Les dommages sur le véhicule étaient légers, et là aussi le réservoir d’essence n’avait pas pris feu.

Ces trois morts étranges, espacées à des centaines de km les unes des autres, s’étaient produites rigoureusement au MEME MOMENT ! ! !

Nul doute qu’il y eut une CONNEXION…

A propos de ces trois victimes du 7 avril 1958, Michael Mac Dougall nous dit :

Cela s’est passé comme si une créature galactique d’une taille inimaginable avait sondé la Terre avec une sorte de trident, trois pointes de feu qui ne brûlaient que la chair. ".

A VOUS LECTEURS DE TROUVER DE NOUVELLES REGLES DE TROIS…

" Au 19 ème siècle, à Londres, la mère de John Wrigt s’embrasa soudainement à plusieurs reprises sur deux jours… Elle déclara que c’était " quelque chose de surnaturel " qui l’attaquait !… ".

(Tiré du livre de feu Jacques Bergier et le Groupe INFO " Le livre de l’inexplicable ", page 203, Editions " J’ai lu ", n° A 324, paru en 1975).

L’ETRANGE CAS DU SOUS-MARIN RUSSE " K-131 ".

Nous vous soumettons une dépêche de l’AFP (Agence France Presse) que nous nous sommes procurée. Elle porte le n° AFP 311223, datée du 31 août 2000, à 12 H 23. Titre : " Russie-sousmarin PREV / L’incendie du sous-marin russe " K-131 " restera un mystère. (PAPIER D’ANGLE). Par Sergueï LARINE.

" MOURMANSK (Russie), 31 août (AFP) – Le renflouage prévu du " Koursk ", qui a coulé avec 118 hommes, ne lèvera peut-être pas le mystère sur la cause de l’accident : en témoigne l’histoire du " K-131 ", un sous-marin soviétique dont l’incendie qui avait fait 13 morts en 1984 n’a jamais été expliqué.

Le 18 juin 1984, 13 sous-mariniers étaient brûlés vifs à bord du " K-131 ", alors que ce sous-marin nucléaire, avec plus de 100 personnes à bord, naviguait à 150 mètres de profondeur en mer de Norvège.

Il se dirigeait vers son port d’attache, Vidiaïevo, sur la mer de Barents, après une mission de 62 jours en Méditerranée où il surveillait un porte-avion américain.

A 09 H 30 du matin, nous avons reçu un signal d’alarme et entendu des cris en provenance du huitième compartiment" ", se souvient le capitaine de vaisseau Alexeï Efremov, membre de l’équipage du " K-131 ", dans une interview à l’AFP.

Selon lui, l’incendie a commencé d’une façon tout à fait " mystérieuse ".

Les cheveux et les vêtements du sous-officier Valentin Troubitsyne qui se trouvait dans le huitième compartiment ont brusquement pris feu ", raconte le capitaine Efremov. " Troubitsyne se démenait dans le compartiment pour essayer d’éteindre les flammes, et le feu s’est emparé de deux autres membres de l’équipage ", poursuit-il.

Les sous-mariniers en flammes se sont précipités dans le septième compartiment, où d’autres marins ont été à leur tour atteints par le feu.

Ils frappaient à la porte du compartiment voisin et suppliaient de leur venir en aide, mais un sous-officier qui se trouvait de l’autre côté de la porte n’a pas cédé à leurs supplications.

Confronté à un choix difficile, il avait compris qu’une quarantaine de marins, qui se trouvaient dans son compartiment risquaient eux aussi, s’il ouvrait, une mort atroce dans les flammes.

Ce qui m’a surpris le plus, c’est que le feu choisissait minutieusement ses victimes. Il a déformé les placards métalliques à l’intérieur du sous-marin, mais n’a pas touché les documents ", affirme le capitaine Efremov. " Le feu ne poursuivait que les hommes ", conclut-il.

Le sous-marin a été remonté à la surface et l’incendie éteint. Treize morts et trois blessés graves ont aussitôt été évacués à l’aide d’un hélicoptère.

L’enquête dirigée par l’état-major de la Flotte militaire soviétique a accusé l’équipage de négligence. La composition de l’air que les marins devaient contrôler contenait, selon les enquêteurs, un taux trop élevé d’oxygène.

M. Troubitsyne a été tenu pour responsable. Il aurait provoqué l’incendie en utilisant un affiloir électrique à l’aide duquel il fabriquait des bibelots en métal. Les membres de l’équipage ont été traités de " criminels " et rétrogradés.

Six ans après l’accident, l’enquête a été relancée par le parquet militaire de la Flotte du nord qui a contredit toutes les conclusions faites auparavant. Le taux d’oxygène ne dépassait pas la norme et Troubitsyne n’a pas utilisé son affiloir le jour de l’accident, selon de nouveaux témoignages.

Les experts ont affirmé être incapable d’itentifier les véritables raisons de l’accident. " Ils n’ont pas pu non plus expliquer de nombreux cas de lueurs et d’éclairs sphériques que les marins avaient souvent observés à bord des sous-marins ", note M. Efremov.

Après cet incendie, jamais évoqué à ce jour par la presse, le " K-131 " a poursuivi son service dans la flotte russe, sans que les causes de l’incendie soient élucidées : le sous-marin n’a jamais livré son mystère, tout comme le " Koursk ", accidenté le 12 août en mer de Barents, pourrait lui aussi garder son secret même si l’épave, échouée par 108 mètres de fond, était un jour renflouée. ".

Et pour terminer cette énumération non exhaustive, un cas ancien dont il faut se souvenir…

Au début de février 1948, le cargo hollandais " Ourang-Medan " traversait le détroit de Malacca, pour se rendre à Djakarta… La mer était calme, le soleil très chaud. Brusquement des stations entendirent des S.O.S. venant du navire, avec l’indication de sa position. Des bateaux du voisinage arrivèrent aussitôt sur les lieux… Les hommes qui montèrent à bord du " Ourang-Medan " ne trouvèrent que des morts. Les visages figés étaient tournés vers le soleil, les bouches ouvertes, les yeux vitreux. Les sauveteurs tinrent une conférence et décidèrent de remorquer le cargo jusqu’au port le plus proche...

Soudain, de la fumée et des flammes jaillirent de la cale et s’étendirent rapidement. Les sauveteurs, incapables de lutter contre l’incendie, regagnèrent hâtivement leurs bords. Quelques minutes plus tard les chaudières de l’ " Ourang-Medan " sautèrent ; il chavira et disparut sous les eaux.

Voir le livre de Vincent Gaddis " Les vrais mystères de la mer ", éd. France-Empire, paru en 1977. Pages 150-152.

Nous aurions pu également retracer les différentes apparitions mariales, les espèces Elfes, Fées… où là aussi existent des supports photographiques les concernant… De même que les images reçues en transcommunication…

En considérant, avec les défunts, la multitude des espèces des outre-mondes qui interfèrent avec la nôtre, il nous faut alors admettre que notre planète constitue un gigantesque carrefour cosmique

Mais aussi certainement pas notre seul globe !

Pour le meilleur ou… pour le pire.

Christian Macé

 

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