O.V.N.I.S

 

Quels sont nos moyens d'investigations ?

 

Dans le premier article - mythe … désinformation - je parle beaucoup de ce géant des complexes qu'est l'appareil militaire.

En ce qui me concerne, je pense sincèrement, comme déjà dit, que les militaires, quel que soit le stade d'avancement de l'éventuelle communication entre eux et les E.B.E, sont ceux qui ont le plus d'informations à propos du sujet qui nous passionne.

Il me paraît donc logique de vouloir prendre l'info à la source.

C'est le but de cet article !

Nous sommes finalement assez limités dans la manière dont nous pouvons récolter les news.

Nous devons toujours nous fier à ce qu'un rapporte, c'est à dire ce qu'il a lui-même entendu ou lu, mais, rare sont les fois où nous pouvons nous mettre du concret sous la dent. Et, pourtant, le concret est peut-être bien plus près qu'on ne le pense !

Avant d'aller plus loin, je signale que ces quelques lignes sont issues de ma propre réflexion. Je n'encourage personne à se mettre en faux vis-à-vis des lois. Le libre arbitre n'est pas un leurre, et les adultes peuvent prendre leur responsabilités.

 

Où chercher ?

 

Si infos il y a, et quant à moi je l'affirme, il y a, elle se trouve, de toute évidence, entre les mains de ceux qui cultivent l'art du renseignements afin de ne pas perdre le nord dans la pléthore de documents, d'images qui circulent dans notre quotidien.

Toutes ces données, pour être interprétables, doivent être traitées. Mon raisonnement part de là.

Il est bien clair que nous pourrons avoir accès aux banques mères de données. Même ici en Belgique, l'appareil de renseignements militaires est hyper-protégé. Pour l'anecdote, dans les camps militaires belges, le staff "renseignements", dépend directement du niveau nommé "S 4". Je rappelle que, selon Robert S. Lazar, "S 4" est aussi le nom des installations où seraient exploités les objets non identifiés récupérés.

Mis à part l'anecdote, il me paraît utile de décrire la manière dont les "renseignements militaires" fonctionnent.

  1. Réception des infos, quelle que soit la source.
  2. Analyse des données par une équipe polyvalente appartenant aux renseignements.
  3. Rédaction des rapports.
  4. Transmission des rapports à l'autorité (officier supérieur responsable du service)
  5. Rédaction par l'officier du post-traitement à faire et transmission de celui-ci à l'équipe d'analyse.
  6. Transmission par l'équipe d'analyse des renseignements collectés aux staffs concernés par la nature des infos à compiler et à exploiter par tous les moyens possibles.

En ce qui nous concerne, il est clair que l'interception de données ne peut avoir lieu que lorsque le point 6 est réalisé.

C'est pour cette raison, je pense, que toutes le installations militaires sont des réserves potentielles d'informations;

 

 

Aux confins du Nevada, la Zone 51 est probablement l'endroit au monde où se trouvent analysés et "détenus" le plus grand nombre d'informations capitales en matière d'Ufologie.

Source : Area 51 research center c/o Glen Campbell.

 

 

L'observation sans risque.

 

Il faut toujours faire la différence entre observation et passage à l'action.

Aux abords d'une installation militaire, cette différence se traduit par liberté de mouvement contre interpellation.

Rappelons à ce propos que lorsque vous vous trouvez sur un terrain militaire, vous êtes sous l'autorité du règlement militaire. Ce n'est que lorsque les militaires vous auront transférés jusqu'aux autorités "civiles", en Belgique, la Gendarmerie ne fait plus partie du Ministère de la Défense, mais bien du Ministère de l'Intérieur, que vous pourrez espérer un traitement moins anguleux.

L'observation, pour qu'elle ne porte pas à conséquence, doit se faire de la manière suivante :

  1. A l'extérieur du périmètre, quelques centimètres suffisent.
  2. Ne pas exhiber d'appareils photos ou autres moyens de prises de vue, être discret ne signifie pas ne pas avoir de quoi "mettre en boîte".
  3. Etre attentif : si des mouvements de patrouille commencent à s'agiter, visiblement à cause de votre présence, regardez bien autour de vous afin de ne pas être surpris par un combi de Gendarmerie.

Si on respecte ces trois points, on a un bel avenir près de certaines installations.

 

Quelles bases choisir ?

 

Il peut sembler évident de s'orienter vers les plus grosses installations. Ce n'est pas une erreur, mais, sachez que l'armée a l'habitude de fragmenter l'info : de cette manière, il faudra beaucoup plus de temps et il y aura nettement plus de difficultés pour la reconstituer fidèlement.

C'est, bien sûr, un désavantage pour le chercheur, mais quelque part, c'est aussi un atout !

La fragmentation de l'info se fait d'une manière assez intelligente, ce qui permet à l'investigateur de savoir encore mieux où chercher.

Exemple, en Belgique, si on veut en savoir plus sur les ressources militaires en matière de transport, on sait devoir chercher sur une carte toutes les installations militaires disposant d'un dépôt "Classe 3". Il s'agit de dépôt de carburant dont l'importance varie en fonction du nombre de véhicules à alimenter.

En conséquence, et ce n'est qu'un exemple, si le camp Roi Albert de Marche-en Famenne dispose d'un dépôt Classe 3 très important, c'est simplement parce qu'il doit alimenter tout le parc du camp, mais aussi les réserves d'une installation américaine de l'OTAN très proche de Marche-en-Famenne, mais officiellement inexistante. Pour preuve, chaque jour, des camions citerne américains, conduits par des américains viennent s'approvisionner au Camp.

On s'écarte du sujet, mais avec un exemple concret, on s'y retrouve mieux.

Donc, toutes les installations sont potentiellement intéressantes.

Il y a cependant un genre d'installations qui retiendra plus notre attention, il s'agit de celles de la Force Aérienne.

 

Les aérodromes militaires.

 

Ce qui est commun à tous les terrains d'aviation militaire, aussi bien en Belgique qu'en France, c'est la proximité de "terres" semblant anodines mais aux affectations pour le moins bizarres.

Exemple, à Florennes - Province de Namur, Belgique - il n'existe pas vraiment de bon lieu pour assister aux décollages et atterrissages de jets. Il faut longer les installations en restant sur la route principale, tourner ensuite à droite pour prendre la direction de Chaumont, prendre à nouveau à droite pour s'enfoncer dans un petit village attenant à Florennes et, au détour d'un pont de chemin de fer détruit, virer vers la gauche pour se retrouver, sur route civile pendant 500 mètres à l'extrémité d'une des pistes d'envol. Lorsque le "chemin agricole" devient route appartenant à la base, il ne faut plus faire 300 mètres pour se retrouver à la perpendiculaire d'une autre piste, balisée d'une manière spéciale.

C'est de cette piste, inconnue et invisibles aux yeux des personnes de passage - un axe de communication se trouve à moins d'un kilomètre et le terrain est quasi à découvert - que décollent des chasseurs américains - F-115, parfois A-10, et d'après des documents photos vus par moi, au moins un F-117 A, mieux connu sous le terme "Furtif - immatriculés aux couleurs de l'USAF. Le tout en Belgique, dans une paisible région pour le moins très verte.

Mais, ce n'est pas tout. Lorsque vous quittez l'endroit, et que vous marquez le "STOP" pour reprendre la route principale, celle par laquelle vous arrivez, vous pouvez, par temps plus ou moins clair, distinguer un énorme bâtiment blanc, surmontés par des "flashs" et se trouvant à moins de 5 kilomètres devant vous.

Le problème est que le bâtiment est complètement inaccessible que ce soit par des routes ou par des chemins de traverse.

A quoi sert-il, pourquoi est-il "balisé", pourquoi, n'est-il pas possible de l'approcher autrement ( c'est du moins le constat que j'en ai fait ) que par les airs ?

Autre question : les chasseurs américains arrivent en Belgique comment ?

De plus, comment se fait-il qu'il quitte Florennes en emportant des armements lourds accrochés aux ailes et visibles comme "le nez au milieu de la figure?" D'après les conventions de l'OTAN, si le survol est permis, aucun armement ne peut être embarqué.

Pourquoi donc des armes, sur des jets américains en pleine Belgique profonde ?

 

 

Cette carte a été scannée et annotée par Jean-Luc Lemaire, aussi membre d'UFOWEB.

Il relève de nouveaux des particularités très spéciales sur un terrain proche d'un aérodrome militaire.

Source : Jean-Luc Lemaire

 

 

 

 

Cette photo, malheureusement, de mauvaise qualité, montre ce qui devrait être un instrument de contre-mesure.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que son allure est étrange.

D'après des amateurs d'avionique hightech, il pourrait s'agir d'une espèce de "borne d'approche" pour objet volant très bas - moins de 200 mètres - à très haute vitesse.

(Source : area 51 research center c/o Glen Campbell)

 

Que dire de plus ?

 

Il existe encore beaucoup d'autres endroits où une certaine forme de mystère est entretenue.

Dernier exemple : Marville, petite localité française, juste après la frontière franco-belge près de Virton, sud de la Belgique.

Cette ancienne base aérienne de l'OTAN est désaffectée aujourd'hui; Elle fait le bonheur des amateurs de kartings.

Mais pas tous les jours !

Les habitants de l'endroit vous le disent clairement : plusieurs fois par année - ndlr : sans doute en période de manœuvre - un périmètre est bouclé, et des Mirages 2000 y atterrissent. Rien de bien transcendant !

Si ce n'est que, parfois, les Mirages sont accompagnés d'hélicos complètement vierges d'immatriculation et au design, paraît-il, exotique !

A une quarantaine de kilomètres de là se trouve une base dédiée aux hélicoptères, je ne suis pas sûr de l'orthographe, mais il s'agit de la base d'Etain.

A cet endroit, la sécurité est au plus haut point. Pourtant, officiellement, les hélicoptères se trouvant là sont des modèles courants, ne décollant que pour des exercices normaux.

Je me doute que la sécurité doit être grande pour éviter sabotage, vol et / ou vandalisme. Mais de là à former un périmètre à découvert - c'est à dire sans dénivellation et sans végétation - de plus de deux kilomètres, il y a quelque chose là d'anachronique

 

Epilogue.

 

Je pense avoir assez d'éléments pour envisager le fait que les installations de la Force Aérienne, en général, sont certainement des endroits idéaux pour observer des choses singulières.

Bien entendu, vous ne verrez aucun O.V.N.I. décollé ou atterrir, mais les militaires de l'aviation sont certainement ceux qui sont le plus au courant de la chose, car les plus concernés.

J'insiste encore sur les terrains aux affectations bizarres se trouvant à proximité des bases. C'est probablement là que se trouve les choses les plus intéressantes : MAIS ATTENTION AUX CONSIGNES CONCERNANT VOTRE PROPRE SECURITE.

Enfin, je termine avec une citation de Glen Campbell : "Le problème n'est pas d'obtenir l'information, mais de la rendre authentique".

 

RESEARCHER

 

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